Je me suis toujours intéressé au passé. Quand j’étais collégien, j’adorais faire des dossiers sur l’histoire. Au lycée, grâce à l’Histoire Géographie et surtout à la prof [1] qui l’enseignait, j’ai réussi mon Bac en 1980.
En 1981, alors que je suivais des études de Sciences et Vie de la Terre, je participais à des fouilles archéologiques à Tautavel dans les Pyrénées Orientales. J’ai repris des études d’Histoire au milieu des années 80. Cette passion m’a orienté tout naturellement vers une autre passion, la recherche généalogique et plus particulièrement celle qui nous concerne, la généalogie des GAUTIER.
J’ai véritablement commencé l’arbre en 1982. A cette époque, et pendant pratiquement deux ans, je vais pas mal vadrouiller. Je me déplacerais plusieurs fois aux archives d’Aix en Provence (branche paternelle), à celles de Lons-le-Saunier et Châlons-sur-Saône (branche maternelle). Mon frère Bernard me donnera même un coup de main.
Dans un premier temps, et ce grâce à un généalogiste rencontré par hasard à la mairie de Beaurecueil (B.d.R.), ayant réussi à remonter jusqu’à la 9ème génération avec le fameux Gabriel GAUTIER, travailleur, né en 1678 au Tholonet, près d’Aix-en-Provence, j’ai vraiment « piétiné ». Je me suis alors concentré sur les branches voisines (frères, sœurs des ascendants directs) pour trouver d’éventuels descendants proches cousins.
Lorsque au début des années 90 ma famille s’est agrandit, trop occupé, je n’ai plus fait de recherches.
Il faudra attendre l’année 2007 et mon problème de santé, pour que je replonge sérieusement dans la généalogie. Sur la branche maternelle, je vais faire des découvertes fort intéressantes. Je vais retrouver une petite cousine [2] du côté de ma mère, et contacter une cousine germaine [3] de ma mère, inconnue jusqu’à ce jour.
Et surtout, grâce à internet et les archives en ligne des Bouches du Rhône, j’ai pu remonter dans l’arbre des GAUTIER. Trois nouvelles générations sont venues s’ajouter.
Emmanuel GAUTIER,
un GAUTIER parmi tant d’autres … finalement.